On aime, on n'aime pas...

Transcend JetFlash 2B

On aime… la sécurisation des données

Avec cette clé, vos données sont en sécurité ! La JetFlash 2B signée Transcend propose en effet deux systèmes de protection. Le premier est destiné à bloquer l’écriture de données, afin de ne pas effacer par inadvertance les documents conservés sur la clé. Il suffit d’actionner un petit interrupteur placé sur la tranche. Le second système de protection permet, grâce au logiciel U-Storage fourni avec la clé, de protéger l’accès à vos données par un mot de passe. Ainsi, même si vous égarez votre clé, vos données ne pourront pas être lues par des curieux

On aime… la rapidité

Avec un taux de transfert des données de 6,25 Mo par seconde pour les gros fichiers, cette clé figure parmi les plus rapides du lot juste derrière le modèle de Sitecom qui atteint 6,56 Mo par seconde , à égalité avec l’autre Transcend, la JetFlash 2A, et les modèles de Storex, Iomega et Verbatim. En revanche, pour les petits fichiers, le résultat est en léger retrait : avec 3,66 Mo par seconde, la JetFlash 2B est devancée par la JetFlash 2A et la clé de Sitecom, décidément la plus rapide du lot

On aime… la rallonge USB

Sur certains micros, et plus particulièrement les portables, les prises USB sont plus ou moins accessibles. Il peut être difficile, voire impossible, d’y insérer la clé. D’où l’utilité d’avoir une rallonge qui facilite le branchement et vous évitera d’avoir à vous contorsionner pour installer votre clé à l’arrière du micro. Cette rallonge pourra également vous être utile pour brancher n’importe quel périphérique nécessitant une prise USB. La moitié seulement des clés testées sont livrées avec une rallonge

On aime… le prix

Le prix de la majorité des clés retenues pour ce banc d’essai varie entre 50 et 80 euros. Vendu 33 euros, ce modèle de Transcend se situe dans une gamme de prix bien inférieure. Avec des performances qui ont de quoi faire des envieux

Freecom USB Card, Traxdata

On n’aime pas… la prise USB mal protégée

Les clés USB sont destinées à être transportées sur un porte-clés, au fond d’une poche ou d’un sac à main. Elles sont donc particulièrement exposées à la poussière. Les constructeurs ont trouvé la parade en protégeant la prise par un capuchon. A l’exception de deux modèles de ce banc d’essai. La clé Traxdata est en effet dotée d’une prise rétractable. Si elle y est à l’abri des chocs, elle reste totalement à la merci de la poussière. Autre cas de figure : la Freecom USB Card, de la forme d’une carte de crédit. La prise USB se situe au bout d’une languette. Un logement est prévu pour l’accueillir lors du transport. Mais là encore, une partie reste exposée aux rayures et aux poussières. Un défaut compensé par le porte-cartes fourni

Iomega, SanDisk, Lexar Sport, Traveler et Elite

On n’aime pas… l’absence de sécurisation de données

Personne n’est à l’abri d’une malencontreuse erreur de manipulation qui pourrait conduire à effacer les données stockées sur une clé. Un risque qui ne semble pas alarmer ces trois constructeurs, puisque aucun d’entre eux n’a jugé nécessaire de doter sa ou ses clés d’un interrupteur pour bloquer l’écriture de données. Egalement insouciant des fortes probabilités d’égarer une clé et de laisser ainsi des données confidentielles à la portée de tous, ils n’ont pas davantage pensé à proposer des systèmes de protection par mot de passe

On n’aime pas… le pilote pour Windows 98 à télécharger

Si Windows Me et XP détectent une clé USB dès qu’elle est branchée, il n’en va pas de même avec Windows 98, pour lequel il est obligatoire d’installer un pilote. Si la plupart des constructeurs ont pensé à le livrer sur CD avec la clé, il n’en va pas de même pour les modèles de Iomega, SanDisk et les trois clés de Lexar. Il est nécessaire de se rendre sur le site du constructeur pour télécharger le pilote

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Coralie Cathelinais

On aime, on n’aime pas…

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