- Le grand match des navigateurs Internet
- 1er ex aequo : Chrome, pour les applications en ligne
- 1er ex aequo : Opera, le plus rapide
- 3e : Firefox, le plus extensible
- 4e ex aequo : Safari, Chrome en moins bien
- 4e ex aequo : Flock, pour le Web 2.0
- 6e : Internet Explorer, leader sur le déclin
- 7e : Avant Browser, une surcouche aboutie
- 8e : K-Meleon, des choix pénalisants
- 9e : GreenBrowser, mélange bizarre
- 10e : Slimbrowser, léger et sans relief
- 11e ex aequo : Maxthon, sacrée déception
- 11e ex aequo : Sleipnir, made in Japan
- Ceux que Microsoft a écartés
- Comment nous avons testé les navigateurs
Même si Microsoft a ratissé large, les navigateurs retenus pour l’écran de choix ne sont pas les seuls à exister. La sélection oublie de fait tous les navigateurs n’existant pas sur la plate-forme Windows, comme certains basés sur le moteur Gecko (Camino pour Mac OS X, Epiphany pour Linux, OS X et BSD) ou Webkit (OmniWeb, qui n’existe que pour Mac OS). D’autres, bien qu’existant sous Windows, ont aussi été écartés : c’est le cas de SeaMonkey, qui est bien plus qu’un navigateur avec son client de messagerie et son éditeur de pages Web intégrés, de Konqueror (dont l’arrivée sur Windows est récente) ou de Lunascape, un navigateur d’origine japonaise qui embarque les trois principaux moteurs de rendu. Mais pas de panique, la liste du ballot-screen n’est pas gravée dans le marbre. Elle devrait être mise à jour tous les six mois par Microsoft.
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