Quand Microsoft a confirmé, il y a quelques mois, que sa prochaine console de jeu Xbox 360 serait animée par un processeur PowerPC (de la même famille que ceux des iMac d’Apple), il était tentant de prédire le déclin des
processeurs Pentium, ce dont beaucoup d’analystes et d’adeptes du Mac ne se sont pas privés, afin de dénigrer les PC. Vous pouvez effectuer une recherche sur le Web, certains commentaires sont croustillants ! Mais depuis le show
annuel de Steve Jobs devant ‘ ses ‘ développeurs, le 6 juin, on sait qu’Apple a choisi de divorcer d’avec IBM et d’épouser dans la foulée… son ennemi juré, Intel.C’est dit, les deux prochaines années verront donc tous les iMac changer de coeur (pour la deuxième fois de leur histoire !). Et quel est l’argument avancé par Steve Jobs pour expliquer ce changement majeur ? A
consommation électrique égale, les Pentium pulvérisent les PowerPC en performances. Ce revirement d’alliance de la part d’Apple montre à quel point le trio performance, autonomie et dissipation de chaleur est de plus en plus lié et
essentiel dans la conception des appareils numériques utilisés de façon autonome, en particulier les micros portables dont l’avenir semble plus que prometteur.* rédacteur en chef
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