Renault devrait jouer à fond la carte de la nostalgie. Selon nos confrères britanniques d’Autocar, la société au losange ne se contenterait pas d’une R5 électrique au style néo-rétro mais pourrait bien doubler la mise avec une autre icône historique de la marque, la 4L.
D’après les informations recueillies par le site anglais, Renault aurait longtemps hésité entre la R4 et la R5 pour lancer cette stratégie. Luca de Meo, son président aurait tranché en faveur la dernière mais aurait très tôt admis qu’il y aurait « au moins une autre » résurgence du passé dans la stratégie future de la marque.
La 4L en mode petit crossover ?
La 4L est un des véhicules emblématiques de la marque. Produite entre 1961 et 1992, elle a longtemps figuré en tête des ventes, représentant à la fois une voiture simple à conduire et abordable. Produite pour de nombreuses administrations, telles que La Poste, la gendarmerie ou encore France Télécom, elle a longtemps été le symbole de la voiture populaire. La voir ressusciter aujourd’hui serait donc tout sauf une surprise.
En revanche, si les futures R5 et R4 devraient partager la même plate-forme CMF-B et une grande partie de leurs caractéristiques techniques, Renault envisagerait de positionner sa 4L de manière très différente. En effet, bien qu’elle fasse partie du segment B, comme la Clio, elle pourrait être déclinée en petit SUV ou en crossover compact.
Ainsi, l’entrée de gamme électrique de la marque serait dévolue à la R5, la véritable successeur de la Twingo ZE électrique. Si la R5 électrique est prévue pour 2023, la 4L, pour sa part, ne devrait pas voir le jour avant 2025. Elle mettrait ainsi définitivement un terme à l’aventure Zoé.
Source : Autocar
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