- Grand match photo : compacts contre reflex
- Comment nous les avons testés
- Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…
- Les autres modèles : on aime, on n’aime pas?
- Résultats du comparatif du 01Lab
Olympus – Pen E-PL1
On aime… l’ergonomie d’un compact
Non seulement l’E-PL1 est bon et complet, mais il est aussi le plus intuitif de la compétition. Son interface rappelle les compacts de la marque, du logiciel embarqué au placement des boutons. Un appareil idéal pour opérer une transition en douceur du compact vers les modèles à optiques interchangeables.
Samsung – NX10
On aime… l’écran Amoled
Grâce à la technologie avancée Amoled (Active-Matrix Organic Light-Emitting Diode, soit matrice active de diodes organiques électroluminescentes), l’écran dispose d’une définition élevée et d’angles de vision exceptionnels. Et, surtout, il reste bien lisible même en extérieur par temps ensoleillé. Un modèle du genre.
Nikon – D3000
On aime… le mode guide
Pour choisir un mode de prise de vue, ceux qui n’y connaissent rien opteront pour le mode « guide ». Ils seront alors pris en main par l’interface logicielle de Nikon, qui est très simple. Un petit plus bien appréciable !
Canon – EOS 500D
On aime… la qualité des vidéos
Disponible en Full HD (mais limité à 20 images par seconde), le vrai mode vidéo exploitable de ce 500D utilise une résolution de 1 280 x 720 points. Une définition certes égale à celle de ses rivaux, mais la maîtrise de Canon en matière de vidéo place son champion largement au-dessus de la mêlée.
Panasonic – Lumix MDC-GF1
On aime… la compacité et la finition du boîtier
Tout en métal, le boîtier est d’une qualité de fabrication exemplaire. Et le GF1 a aussi pour lui une très grande compacité et un format très proche des compacts. C’est, avec le Pen E-PL1, l’appareil qui permet, du coup, de passer le plus inaperçu.
Nikon – D5000
On aime… l’écran rotatif
Tantôt il se retourne pour une meilleure protection, tantôt il fait face au photographe, tantôt il s’oriente vers le bas pour prendre des clichés au-dessus de la mêlée… l’écran rotatif est un des points forts du D5000.
Canon – EOS 1000D
On n’aime pas… l’optique non stabilisée
Il n’est pas rare de trouver le 1000D accompagné d’une optique EF-S 18-55 mm F3.5-5.6 non stabilisée. Un handicap pour un appareil dont le capteur n’est pas, lui non plus, stabilisé. Il faudra donc prêter attention à l’optique livrée, en préférant un modèle estampillé de la mention « IS ”, sigle de la stabilisation chez Canon
Olympus – E-450
On aime… le boîtier réactif
C’est le plus survolté de la compétition : le E-450 répond illico aux sollicitations. Les menus apparaissent vite, le déclenchement est rapide, de même que la mise au point. C’est l’appareil pour ceux qui aiment dégainer rapidement. Bémol : les modes artistiques, eux, sont en revanche longs à enregistrer les images. Préférez un traitement des images a posteriori.
Sony – Alpha A450
On aime… la cadence de mitraillette !
Tandis que la concurrence stagne à 3 images par seconde et des poussières, ce Sony survole le domaine de la prise de vue en rafale avec pas moins de 7 images par seconde, une cadence digne des meilleurs appareils semi-pros ! Prévoyez tout de même des cartes mémoire de qualité pour encaisser le choc et préférez, en mode rafale, le format Jpeg au Raw, ce dernier étant plus gourmand en débit et en espace sur la carte mémoire (rafale plus lente et moins longue).
Pentax – K-x
On aime… le boîtier taillé pour encaisser !
Même s’il représente l’entrée de gamme de Pentax, ce K-x est fidèle à la réputation de robustesse de la marque nippone. Si le reste des finitions (boutons, molettes) ne lui permet pas de prétendre à la gamme pro, le K-x est sans conteste le petit costaud de la compétition.
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