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Fins comme des galettes !

Design soigné, fonctions multimédias, pilotage de Windows, ces cinq claviers ultraplats sont aussi pratiques que discrets.

Un nouveau clavier ? Pour quoi faire ? Si vous ne voyez pas de raisons objectives pour effectuer un tel achat, ce qui suit pourrait vous faire changer d’avis. Les cinq claviers, avec ou sans fil, que nous avons testés sont ultraplats : le plus épais ne dépasse pas 4 cm. L’avantage, outre le design de certains modèles, est de pouvoir les glisser sous un moniteur ou dans un tiroir. L’inconvénient : la faible épaisseur peut nuire à la réponse des touches et au confort de frappe.Un autre point intéressant : ils disposent de fonctions de pilotage de Windows, l’application multimédia et Internet. Outre les réglages du volume, il y a les boutons Lecture/Pause, Stop, Suivant et Précédent, qui fonctionnent avec le Lecteur Windows Media et Media Center, et les touches dédiées à Windows : ouverture du menu Démarrer, lancement du navigateur, de la messagerie, affichage des gadgets ou d’Aero dans Windows Vista.Le vainqueur, le WLD 6000 de Microsoft, a même des touches de fonction pour Office et pour ouvrir les principaux dossiers de Windows.De quoi laisser la souris au repos, d’autant plus que les trois claviers les plus avancés – et aussi les plus chers – proposent un touchpad ou pavé directionnel, complété par les boutons gauche et droit. Du coup, on hésite à choisir les modèles Microsoft accompagnés d’une souris. Toutefois, autant nous avons été déçus par le nouveau WED 8000, vendu 279 euros, autant nous avons adoré le WLD 6000 à 99 euros. Une vraie réussite, avec ou sans souris

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Christophe Blanc