Seagate GoFlex Cinema 3 To : la promesse
A l’heure où les téléviseurs et les boîtiers multimédias en tout genre (format platine, boîtier avec ou sans disque dur, etc.) proposent de plus en plus l’accès à des services en ligne (Facebook, Twitter, VOD, replay, etc.), Seagate préfère s’en tenir aux bases avec son GoFlex Cinema. Ici, pas la moindre interface réseau, mais un appareil capable de tout lire depuis un disque dur Free Agent GoFlex de la même marque ou tout autre périphériques USB. Nous l’avons testé en version 3 To.
Seagate GoFlex Cinema 3 To : la réalité
Seagate ne réalise aucune prouesse en matière de design : le GoFlex Cinema est un large pavé (22,3 x 4,4 x 12 cm) noir brillant aussi quelconque que passe-partout. Premier reproche en matière de conception, aucun port USB n’est présent en façade et – seconde critique – il n’y en a qu’un seul.
En revanche, nous avons pu y brancher un concentrateur USB permettant ainsi d’accueillir plusieurs périphériques et surtout, de pouvoir les rendre plus accessibles (plus besoin de pivoter le boîtier pour accéder à la prise USB).
Un disque dur multimédia en deux parties
Seagate dispose d’une gamme de disques durs externes dotés d’une interface propriétaire, les GoFlex. C’est pourquoi, le constructeur a pensé son disque dur multimédia comme un modèle évolutif. Ainsi, le GoFlex Cinéma est conçu en deux parties. Une partie disque dur et une plus petite comprenant toute l’électronique (puce de décodage audio et vidéo) ainsi que la connectique pour la vidéo (HDMI et Composite), pour l’audio (optique et Composite), le connecteur USB (USB Host et mini USB pour la connexion au PC) et le connecteur pour les disques durs GoFlex.
Notre modèle était livré avec un disque dur de 3 To, mais il est possible en quelques secondes de déboîter les deux parties pour remplacer le disque dur par un autre.
Le GoFlex Cinema est performant
Concernant la compatibilité multimédia, la promesse est tenue : le GoFlex Cinema lit tout. Photos, audio et vidéos HD, rien ne lui résiste. Cependant, la télécommande laisse un peu à désirer. Comme le boîtier, elle va à l’essentiel et fait l’impasse sur les touches dédiées pour changer les pistes audio ou activer/modifier les sous-titres. Il faut en passer par les menus. Rien de franchement insurmontable.
On retrouve à portée de doigts la possibilité d’avancer, de changer de chapitre et de régler le volume. Fonction très pratique, mais devenue standard : il est possible de reprendre la lecture d’une vidéo là où on l’avait laissée, même après avoir éteint l’appareil.
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