Il y a du bon et du moins bon dans le nouveau Volkswagen California 2024. Au mois de mai dernier, Volkswagen a pris la décision de renouveler son van aménagé, et lui soustraire la plateforme du célèbre Transporter pour celle du Multivan, plus grande et donc plus à l’aise pour imaginer la suite du Combi. Pourtant, l’aventure de ce mythique nom touche aussi à sa fin, alors que le California 2024 sera le dernier à disposer d’une version 100 % thermique, en diesel, qui représente aujourd’hui 99 % du marché selon le constructeur.
Il reviendra à partir de l’année prochaine dans une version hybride, PHEV de 245 ch, qui aura le mérite d’offrir une transmission intégrale 4Motion au California, lui qui n’est disponible qu’en version deux roues motrices, avec son diesel TDI de 150 ch, le seul disponible dans la nouvelle gamme California 2024 en France. Le futur PHEV de 245 ch sera basé sur un moteur essence, et un mode 100 % électrique sera disponible pour offrir 40 kilomètres d’autonomie. En vue de son poids en hausse, sa capacité pour tracter sera néanmoins réduite de 2000 à 1600 kg.
Nous avons voulu approcher le nouveau Volkswagen California 2024 et passer une nuit à bord, car malgré une motorisation connue, la nouvelle plateforme technique apporte bien des changements, en matière d’habitabilité et de conduite. Des changements que l’on résumerait par un gabarit plus grand, une kitchenette plus petite et deux portes coulissantes au lieu d’une. Comme vous allez le voir, il y a en réalité bien plus que ça, avec des détails loin d’être anodins, surtout pour un véhicule au prix compris entre 68 400 et 84 000 euros sans option. Voici notre test après une nuit d’essai.
Sur base de Multivan plutôt que de Transporter, ne l’appelez pas T7, mais simplement California. Après la version T6.1, que vaut le nouveau Combi de Volkswagen ? Change-t-il vraiment tout au point de rendre complètement obsolète l’ancien modèle ? Il faudra être attentif, car les évolutions sont loin d’être toutes bonnes à prendre. Heureusement, certains défauts de l’ancien T6.1 ont été corrigés.
À vivre : une journée en California
Le dernier des California thermique est plus grand. Le modèle situé entre le Caddy California et le Grand California, n’a, fort heureusement, pas modifié sa hauteur de 1,99 m (de quoi ne pas payer plus aux péages d’autoroute et accéder aux parkings sous-terrain). Cependant, il s’allonge de 26,9 cm, à 5,17 m. En largeur aussi, le nouveau Volkswagen California s’étend avec une manne de 3,7 cm, pour 1,94 m. La différence est bien visible, surtout de profil, entre l’ancien et le nouveau van aménagé.
À l’intérieur aussi, il suffit d’ouvrir l’une des deux portes coulissantes pour se rendre compte de la différence dans l’aménagement, et du gain en place, entre les sièges arrière et les sièges à l’avant. Mais l’allongement du véhicule n’est pas la seule raison. À bord, on vivra différemment par rapport à l’ancien California T6.1 de 2019. En effet, la banquette arrière a été remplacée par deux sièges individuels, et la kitchenette disponible sur les deux niveaux de finition les plus haut de gamme (Coast et Ocean) est maintenant plus petite, car elle ne condamne plus l’espace permettant de sortir du côté gauche du véhicule. C’est pour cette raison que Volkswagen l’a d’ailleurs doté de deux portes coulissantes au lieu d’une.
À y observer de plus près, l’ensemble fait moins chaleureux que sur l’ancien modèle, car l’ambiance est bien moins proche de celle d’une cabine. La kitchenette sur toute la longueur, jusqu’au niveau du siège conducteur, avait l’avantage de rendre le tout plus ambiance « cocon », là où le nouveau California veut davantage miser sur l’intérêt d’un espace aéré, où l’air circulera bien plus (avec les deux portes) et où l’on se déplacera plus aisément aussi.
Le mobilier évolue, avec des avantages et des inconvénients, mais une chose est sûre, avec une kitchenette plus petite, les rangements disponibles sur celle-ci seront aussi moins nombreux. D’ailleurs, elle passe de deux à une plaque de cuisson, et le frigo migre du haut du meuble sur le bas, au niveau de l’ouverture de la porte gauche. Il prend désormais la forme d’un tiroir, avec l’avantage néanmoins d’être accessible depuis l’extérieur, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent. D’autres éléments migrent, comme le rangement de la table d’extérieur, désormais située entre le matelas et le coffre, en ouvrant le hayon. Auparavant, il se glissait dans la porte coulissante droite.
En parlant de table, cet équipement principalement pensé pour l’extérieur pourra aussi être utilisé à bord, et offrira bien plus de place que l’ancienne tablette du California T6.1. Pour cela, il faudra seulement garder les pieds de la table pliés, et utiliser les petits supports pour caler celle-ci avec des rails présents dans la kitchenette. Une autre tablette est aussi disponible, rangée du côté extérieur de la kitchenette, avec comme intérêt de faire une petite table d’appoint pour l’extérieur, avec la porte gauche ouverte. Notez que celle-ci peut aussi être utilisée sur les autres rails de support du mobilier, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo de démonstration.
Les deux chaises extérieures proposées avec le Volkswagen California sont toujours situées dans le coffre, dans des housses accrochées au hayon (toujours aussi lourd à fermer). Ces chaises pourront aussi être installées sous le auvent, proposé par Volkswagen à la commande, à gauche ou à droite du véhicule. Il s’améliore face à l’ancien, en proposant un système de verrouillage et de déverrouillage avec une clé, permettant de récupérer la manivelle pour déployer le dispositif. Auparavant, cette manivelle était rangée dans le véhicule. Le auvent peut toujours s’installer sans aide, mais il faudra être deux pour le ranger pour ne pas l’abîmer.
Si la kitchenette est plus petite, et qu’elle n’offre pas autant de rangement qu’avant, voilà qu’elle permet tout de même de faire pivoter complètement le siège avant, à 180 degrés. Fini la disposition qui ne permettait pas de mettre face à face les quatre sièges. Désormais, le California fait aussi bien qu’un plus grand fourgon aménagé comme le Grand California.
Terminons sur la partie batterie et réservoirs d’eau propre et usagée dans ce nouveau California 2024. Face à la précédente génération, les modèles Coast et Ocean profitent désormais de 5 litres supplémentaires, pour un total de 28 litres. En matière de réservoir d’eau usée, il faudra compter sur une capacité de 22 litres. De quoi passer quelques jours à bord de ce California, même si évidemment, les capacités ne sont pas les mêmes que celles d’un camping-car.
Enfin, Volkswagen a fait migrer la tablette tactile de contrôle des différents équipements et de la surveillance des niveaux. Elle ne se trouve plus au-dessus du pare-brise, mais sur le montant droit situé au niveau des sièges arrière. Une bonne nouvelle, notamment quand il sera question de contrôler l’éclairage ou le chauffage une fois le lit installé, en s’apprêtant à dormir dans ce nouveau California.
À dormir : une nuit pour tester le confort
Le soleil se couche et il est l’heure de passer en configuration nuit, dans le nouveau Volkswagen California 2024. Bonne nouvelle, il est toujours aussi simple et rapide de tout configurer, pour se retrouver, en moins de 5 minutes, avec deux matelas doubles installés, l’un au niveau du coffre et des places arrière, et l’autre sur le toit avec son ouverture en soufflet.
Premièrement, il faudra ouvrir les portes ou les vitres de la voiture avant d’ouvrir la trappe permettant d’accéder à ce toit en soufflet. Puis, il faudra cliquer sur les commandes d’ouverture situées à droite de l’écran central. En quelques secondes, le toit se déploie, le tout sans assistance humaine, et l’on se retrouve ainsi à pouvoir se tenir debout dans le Volkswagen California 2024, sans aucun problème.
Ensuite, pour ce qui est du matelas du bas, il faudra abaisser les deux sièges arrière, en retournant au préalable leurs appuis-tête. En tirant sur une petite languette située au milieu de ces deux sièges, ils se retrouveront en position couchée, prêts à accueillir le matelas qui viendra se déplier depuis le coffre, en prenant soin au préalable de détacher les deux sangles permettant de garder le matelas plié et fixé à son support. À l’avant, les sièges n’auront pas besoin d’être bougés, et pourront d’ailleurs conserver leur position de conduite. Bien pratique pour pouvoir repartir vite, ou ajuster la position du van aménagé, si l’on s’aperçoit qu’il n’est pas suffisamment horizontal par exemple.
Une fois installé, le matelas du bas sera celui disposant de tous les équipements à portée de main, que ce soit le petit frigo, les rangements, ou le couvercle de levier qui permettra de poser une lampe par exemple. En parlant d’éclairage, des boutons sont disponibles, mais il suffit aussi de taper deux fois sur chaque éclairage pour les allumer individuellement. Avec l’écran de contrôle situé à droite, on pourra allumer toutes les lumières d’un coup, activer le chauffage d’appoint de la batterie auxiliaire de façon temporaire ou permanente.
Ce même écran de contrôle sera aussi très utile pour activer le mode camping, qui permettra aussi, et surtout, de désactiver l’alarme de présence à l’intérieur du véhicule, lorsque le véhicule est éteint. Un important mode pour ne pas risquer de réveiller tout le voisinage… Au même titre, il faudra faire bien attention, surtout en étant seul à bord, de ne pas sortir sans les clés du véhicule en pleine nuit, au risque de se retrouver enfermé dehors avec le mode camping activé.
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À notre avis, le matelas du haut sera le plus confortable, du fait de sa taille légèrement plus importante, de sa tranquillité, de sa vue grâce aux grandes ouvertures disponibles sur la toile, mais aussi et surtout de la présence de ressorts dans le sommier. Cependant, il sera aussi le moins bien isolé. En plein été, il permettra d’être plus facilement rafraîchi, mais par des températures plus basses, on préfèrera la place du bas pour profiter plus rapidement du chauffage.
Au final, notre nuit à bord s’est particulièrement bien passée. Certes, il ne s’agit que d’une nuit, dans un camping et par des températures loin d’être hivernales. Il est donc difficile de comparer notre expérience à un vrai voyage à bord du Volkswagen California. Nous étions seuls aussi, et sur ce point, il faut se questionner, pour ceux qui aimeraient partir à plus de deux personnes, si la version Beach Camper ne serait pas préférable aux modèles Coast et Ocean. En effet, sans kitchenette à l’intérieur, le matelas du bas est bien plus large, et peut plus facilement accueillir deux personnes qui ne prévoiraient pas de finir en cuillère au cours de la nuit, faute de place en largeur.
En matière d’équipements, nous pouvons évoquer le kit d’occultants, qui marque une progression par rapport au California T6.1. En effet, sur le nouveau California 2024, nous trouvons une petite sacoche, qui renferme de quoi occulter l’intégralité des vitres. Il y en a pour les deux vitres à l’avant et pour le pare-brise, le reste étant déjà prévu sous la forme de stores (pour les vitres arrière et la lunette arrière). Au moins, par rapport au T6.1, l’ancien store qui n’occultait pas toute la fenêtre et qui paraissait très fragile a été remplacé par le nouveau système de Volkswagen, bien plus robuste car souple, venant se coincer avec les pare-soleil. Une pièce en tissu comme pour les sièges à l’avant avec des aimants, qui s’installe en un clin d’œil et qui protègera aussi du froid.
L’espace à bord est bien important dans ce nouveau California qui s’allonge par rapport au précédent, mais c’est avant tout en termes de lieu de vie et de circulation à bord que cela se ressentira. En matière de rangement, ce sera plus léger. D’ailleurs, le rangement situé entre le toit et le hayon façon coffre de cabine d’avion sera surtout utile pour ranger quelques vêtements dont on pourrait avoir besoin dans l’immédiat. Le reste devra plutôt être placé dans une valise, dans le petit placard du compartiment consacré à la douche d’appoint.
À conduire : un essai convaincant
Acheter un van aménagé, c’est aussi vouloir enchaîner les kilomètres, et pour cela, le nouveau California 2024 a des choses à nous dire et nous montrer. Comparé à la dernière génération, peu de changement, mais passer d’une plateforme technique à une autre est une opération qui peut totalement changer le caractère de la voiture. D’autant plus quand l’empattement s’allonge. Alors, agréable à conduire, ce nouveau Volkswagen California 2024 ?
La réponse est oui, mais il est clair que l’on constate bien qu’il s’agit ici de la dernière génération d’un modèle de ce genre avec un moteur TDI de 150 ch. Celui qui a équipé de nombreux modèles, dans la gamme Volkswagen a l’avantage de se faire tout discret dans ses consommations aujourd’hui, puisque nous avons réussi, malgré un parcours lent et très vallonné, à maintenir 7l/100 km. Sur autoroute ou sur nationale, il sera même possible de viser moins.
Il faut pourtant au bloc diesel de monter dans les tours, et à la boîte automatique DSG à 7 rapports de se montrer assez nerveuse pour le maximum du couple, et entraîner le California 2024 sur du relief. À la longue, cela peut-être un peu fatiguant, et on aurait tendance à vouloir utiliser le mode manuel assisté, avec les palettes derrière le volant, pour contenir l’ensemble et éviter d’être si bruyant. Il faudra donc conduire souple, même si la plateforme du Multivan autorise l’enfin à se montrer plutôt confortable, même à bonne allure et en courbe.
Sur autoroute ou nationale, on profitera de la finition Ocean et de son mode Drive Assist, qui, depuis son accès sur les boutons situés sur le volant, permet aisément de lâcher les commandes et superviser la route, de quoi avaler encore plus facilement les kilomètres. Passer le temps donc, un point plutôt aisé avec un véhicule de ce type, avec une bonne vision sur l’avant, quoique les montants latéraux s’avèrent assez massifs désormais. Quant aux sièges, on ne leur reprochera rien, si ce n’est un petit manque de confort sur le niveau le plus élevé, où Volkswagen aurait peut-être pu offrir quelque chose de plus premium.
À acheter : le prix du Volkswagen California 2024
Le nouveau California est donc désormais disponible à la commande à partir de 68 400 euros, dans une seule version en France, le TDI de 150 ch. La version PHEV de 245 ch arrivera l’année prochaine, et en attendant, le choix des versions se fera surtout du côté des coloris et des niveaux de finition (entre Beach Camper, Coast et Ocean). Pour rappel, seule la finition Beach Camper ne possède pas la grande kitchenette à l’intérieur, mais un petit kit avec une plaque de cuisson au niveau du coffre. Moins bien équipée, cette version permet toutefois d’avoir un plus grand matelas dans l’habitacle, et beaucoup plus de place également. De quoi avoir une rangée de trois sièges à bord, et donc installer 5 personnes au total.
Cette version, disponible à partir de 68 400 euros, est donc la moins chère. Le prix de la finition Coast débute à 76 850 euros, et la version Ocean à partir de 84 000 euros. À noter que la version Coast offrira en plus des équipements de Beach Camper un chauffage stationnaire, la douchette extérieure, la table pliante pour cuisine à trois positions, deux batteries de camping de 40 Ah chacune, le système d’obscurcissement, une prise extérieure pour cuisine de 230 V/ 3000 W, et le réfrigérateur de 37 litres.
Sur le niveau le plus haut du Volkswagen California 2024, Ocean, on aura droit de série à la climatisation trizones, la caméra de recul, la recharge par induction pour smartphone, les sièges avant chauffants (les deux), une aide électrique pour la fermeture du hayon et des portes coulissantes, une moustiquaire pour fenêtres, le système de navigation intégré, le régulateur adaptatif, ou encore les projecteurs Matrix LED IQ.Light.
Du côté du catalogue des options, certains équipements ne seront aucunement disponibles de série, et ce quelque soit la finition choisie. Parmi ces éléments, l’affichage tête haute, le Travel Assist, la régulation adaptative des trains roulants (DCC) ou encore le Easy Open&Close.
Le coloris biton, cher à la lignée des Combi, est de retour avec au choix un duo orange et argent métallisé, bleu nuit et blanc nacré, ou rouge et noir nacré. À noter qu’une banque marquant la hauteur de caisse du California est aussi disponible, tout comme pour les teintes unies. La couleur du soufflet est elle aussi personnalisable avec au choix du gris, du bleu et du orange.
Bilan : notre avis sur le Volkswagen California 2024
Volkswagen renouvelle sa gamme California en remplaçant la plateforme du Transporter par celle du Multivan, de quoi rallonger le van aménagé de près de 27 centimètres, et lui offrir bien plus d’espace pour la vie à bord. Pourtant, le nouveau California arrive aussi avec une kitchenette plus petite, pour offrir deux portes coulissantes et la possibilité au siège conducteur de pivoter à 180 degrés, comme pour le siège passager. La banquette arrière est abandonnée au profit de deux sièges individuels, et les rangements ne se font pas forcément plus nombreux, comparé à l’ancien California T6.1.
Cela dit, le nouveau California 2024 peaufine quelques détails importants, comme ses niveaux de consommations avec le moteur TDI de 150 ch. Il offre aussi de quoi circuler plus facilement à bord, et accéder au réfrigérateur depuis l’extérieur, avec la porte coulissante du côté gauche. Sur la route, les équipements de conduite comme le régulateur de vitesse ou le mode Drive Assist permettent d’enchaîner encore plus facilement les kilomètres, même si on aurait aimé des assises plus travaillées sur le dernier niveau de finition, Ocean, disponible à partir de 84 000 euros.
Il nous fallait tester ce dernier California, car il sera certainement celui qui mettra fin au 100 % thermique dans la lignée des Combi, malgré un marché aujourd’hui représenté à 99 % par le diesel. Est-ce que l’État décidera de mettre fin à l’absence de malus écologique pour les vans aménagés ? Rien n’est moins sûr, mais ce qui est certain est qu’il faudra faire mieux en matière de discrétion et de puissance, à l’heure où les modèles électriques seront de plus en plus compétitifs. En attendant, le California sera disponible dans sa dernière version avec une déclinaison PHEV de 245 ch, avec un moteur essence, et une transmission intégrale 4Motion à partir de l’année prochaine.
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Volkswagen California 2024
68 400 €Les plus
- Deux portes coulissantes, plus de place pour circuler à bord
- Consommations en baisse autour de 6/7 litres
- Réfrigérateur accessible depuis l'extérieur
- À l'aise sur la route, confortable et sécurisant
- Installation rapide et facile pour dormir
Les moins
- Contenance du réservoir d'eau propre toujours limitée
- Plus grand mais pas forcément plus de rangements que l'ancien
- Une seule plaque de cuisson au lieu de deux précédemment
- Un TDI 150 avec une boîte DSG7 bruyant
- Hayon toujours très résistant à la fermeture
Je vois que le monsieur qui a fait le test est loin d’être un connaisseur des California!
Pleins d’appropriations dans son comparatif, des omissions flagrantes,… bref une bonne promotion pour ce “T7” mais loin de la réalité. Il est à parier que ce nouveau concept n’aura qu’un succès tres limité !
Effectivement.
Je ne vois pas bien ce que la porte gauche apporte.
Dans un Beach pourquoi pas c’est plus simple pour monter à bord des deux cotés. Mais dans un Coast / Ocean…
Comme d’habitude concu par des “gens” qui ne l’utilise pas.
J’ai un calif depuis 2013 250000km
Encore un test qui n’en est pas un. Où sont donc les photos de vie à bord, repas, nuit, etc. ? Ce T7 est une régression vis à vis des T6/5/4/3, pour la première fois depuis des décennies le plan a changé, et pas en bien. Frigo latéral (horreur), moins de rangements (poubelle, wc secs out…), des sièges arrière individuels avec deux petits tiroirs dessous, avec assise sculptée qui diminue le confort de couchage, etc, etc. Rien n’a été sérieusement évalué dans ce “test” 🙁
En 2012 j’ai acheté mon California Beach neuf avec plusieurs options pour 42 000€.
Aujourd’hui le prix de départ est 68 400€ !