On aime… la construction et la finition
Lorsqu’on déballe le NV8, on a peine à croire qu’il coûte moins de 200 euros tant le bon niveau de finition tranche avec les appareils concurrents. Habillé d’une robe de métal noir mat, le design de cet appareil est des plus réussis. Voici un objet high-tech à l’allure sobre et chic que l’on est assez fier de montrer à ses amis
On aime… la qualité d’image
Même s’il se fait ravir la première place dans ce domaine par le Canon, le NV8 capture des images d’une qualité tout à fait correcte pour cette gamme d’appareils. Les couleurs sont réalistes, le bruit numérique (grain parasite de l’image qui apparaît aux hautes valeurs Iso) est bien contenu et l’objectif est de bonne qualité. Aucun souci donc pour des tirages au format 10 x 15 cm ou des agrandissements au format A4
On aime… la prise en main
Non seulement il est chic, mais en plus le NV8 est agréable à tenir en main. Sa poignée latérale, qui abrite le compartiment des batteries, garantit un maintien ferme. De plus, la molette supérieure donne accès rapidement aux principaux modes de capture. Et la commande du zoom tombe naturellement sous le pouce droit
On aime… et on n’aime pas… l’interface tactile
L’interface du NV8 est particulière : elle se compose de deux rangées de touches sensitives placées sous l’écran LCD et à sa droite. En effleurant les touches, on fait défiler des menus architecturés en grille ou en croix. C’est un peu surprenant au début, voire déroutant, mais après une brève période d’adaptation, on s’y fait
On n’aime pas… l’absence de modes prioritaires
Si le NV8 possède bien quelques débrayages manuels et des modes Résultats programmés, on regrette qu’il n’offre pas le mode Priorité ouverture (vous choisissez l’ouverture du diaphragme et l’appareil calcule seul le temps d’exposition), ni le mode Priorité vitesse (vous sélectionnez la vitesse et il calcule l’ouverture)