- Le sourire jusqu’aux oreilles
- Comment nous les avons testés
- Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…
- Les autres modèles : on aime, on n’aime pas…
Les accessoires fournis
Pour commencer, il a été fait un inventaire de tout ce qui est livré avec les produits, comme les coussinets de rechange et, parfois, la housse. De même, les principales caractéristiques de fabrication ont été relevées : prise coudée, qui peut être pratique lorsqu’on enroule le câble, longueur et asymétrie du fil, etc.
La qualité d’écoute
Afin de réaliser les mesures physiques caractéristiques de la qualité d’écoute des casques, le laboratoire utilise une tête de mannequin spécialement prévue à cet effet. Les écouteurs sont placés dans les ‘ oreilles ‘, tels qu’ils le seraient dans la réalité. Le signal sonore est ensuite récupéré sur un oscilloscope après avoir transité par un circuit électronique qui permet de simuler la sensibilité humaine de réception des sons. On est donc au plus proche de l’utilisation qui est couramment faite de ces casques.
La restitution du son
Le laboratoire a évalué les différentes caractéristiques de ces produits. Tout d’abord la bande passante, c’est-à-dire l’aptitude des casques à restituer les sons, des plus graves aux plus aigus. Ensuite, le volume maximal, et pour finir la sensibilité. Plus celle-ci est élevée, moins on a besoin de puissance sonore en entrée du casque pour restituer le son.
Verdict du jury
Pour vérifier et aussi nuancer les mesures physiques, le laboratoire a placé les membres du jury en situation classique d’utilisation des casques. Pour lire les fichiers musicaux, le choix s’est porté sur un baladeur, un iPod d’Apple. A l’aide de morceaux variés représentatifs d’une écoute éclectique et permettant de déceler les défauts des casques (niveau du volume, manque de basses, voix mal rendues, etc. ), chaque membre du jury a noté leur qualité découte.
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