Comme d’autres avant elle, cette norme est destinée à entretenir un climat de confiance entre marchands et clients. Ce sera la transposition en Europe du label WebTrust, qui existe déjà depuis plusieurs mois dans de nombreux pays anglo-saxons (États-Unis, Canada, Royaume-Uni, Australie, Nouvelle-Zélande…).L’obtention de ce label est des plus simples. Un audit préalable permet de vérifier la conformité du site de l’entreprise avec les informations diffusées. Puis, un tiers de confiance (Certplus) émet un sceau WebTrust qui s’affiche sur les pages Web du site.Durant les mois suivants, le site est surveillé. Pour l’entreprise, le sceau WebTrust correspond à l’engagement de respecter sa relation avec le consommateur, notamment en ce qui concerne les conditions générales de vente, le service client, et les pratiques commerciales. De plus, la société s’engage à respecter la confidentialité des données personnelles engrangées.En somme, WebTrust est une copie conforme de L@belsite, mis en place par la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD) et la Fédération des entreprises de vente à distance (Fevad).Créé en août dernier le label n’a, jusqu’à présent, pas obtenu un franc succès. Au vu des résultats de WebTrust dans les pays où le concept s’est développé, on peut craindre qu’il ne connaisse un sort similaire. Ainsi, à la fin de lannée 1999, seulement une vingtaine de sites dans le monde étaient certifiés WebTrust.
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