Ensemble, nous pouvons accélérer le rythme pour changer le monde », assure sur le blog de Jumo, Chris Hughes, l’un des premiers cofondateurs de Facebook à avoir quitté l’entreprise pour vivre sa propre aventure. L’ex-comparse de Mark Zuckerberg ne s’éloigne pourtant pas de l’univers du Web 2.0. Il vient de lancer en bêta Jumo, un réseau social humanitaire dont l’objectif est de soutenir les associations ou fondations caritatives.
Etre membre de Facebook
Pour faire partie de la communauté, l’internaute doit s’inscrire sur le site au moyen de son compte Facebook. Impossible de rejoindre Jumo sans ce sésame. Comme c’est le cas avec toutes les applications tierces transitant sur le numéro 1 des réseaux sociaux, l’initiative de Chris Hughes a accès à toutes les informations qui ont été renseignées par les utilisateurs dans leur profil Facebook. De la même manière, elle peut poster des contenus sur le mur de l’internaute. Ainsi, toute la communauté Facebook d’un nouveau membre de Jumo est alertée de son inscription.
L’internaute doit encore choisir des domaines d’intérêt : la santé, l’éducation, la lutte contre la pauvreté, l’art… Jumo propose de suivre des associations, fondations, musées qui correspondent au choix de l’internaute.
A la manière d’un Twitter, chacun peut être suivi par d’autres internautes. Un bouton « Like » permet comme sur Facebook de noter les actualités qui ont la préférence de l’utilisateur. Attention, par défaut, tous les profils sont ouverts. Il appartient aux uns et aux autres de contrôler les informations qu’ils diffusent.
Pour ce lancement, les organisations caritatives proposées sont presque exclusivement américaines. Mais chaque association ou projet non lucratif peut créer sa propre page, indique Jumo, pour y diffuser des informations ou faire appel à des donateurs.
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