L’IDS nouvelle génération, ou IPS (Intrusion Prevention System) débarque sur le marché pour tenter de combler les lacunes des systèmes de sécurité. En effet, les coupe-feu actuels ne sont pas suffisants pour répondre à la majeure partie des attaques. Quant aux sondes IDS, elles les détectent et les enregistrent, mais ne sont, en général, pas capables de les bloquer.
Les attaques les plus courantes sont neutralisées
D’un autre côté, les antivirus, bien que mis à jour régulièrement, peuvent aider à protéger des codes malicieux, mais restent limités. L’IPS a donc pour objectif de détecter et de bloquer les attaques que les coupe-feu ont manquées et qui ont été néanmoins détectées par les sondes IDS. Un créneau qu’occupe Top Layer, avec le boîtier Attack Mitigator IPS, fruit de son savoir-faire en matière de prévention des attaques par déni de service. Une solution préventive, fondée sur des Asic, qui détecte et bloque les attaques les plus courantes : attaques hybrides (HTTP), par saturation (flood), par déni de service simple ou distribué (DoS ou DdoS), les anomalies de protocole et de trafic, l’usurpationd’adresse IP, etc. “Les sondes IDS traditionnelles génèrent énormément de fausses alarmes. Nous utilisons un système de filtres, qui exploite une bibliothèque de 150 attaques référencées pour optimiser la détection et la prévention”, explique Jean-Patrice Hire, consultant technique pour Top Layer. Cette prévention a un prix : le boîtier coûte environ 15 000 e ht en entrée de gamme. Kareen Frascaria
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