Les interfaces et les protocoles sont des éléments majeurs dès qu’il s’agit d’installer un serveur d’impression dans un parc hétérogène. Les fonctions d’administration jouent également un rôle important, ne serait-ce que pour la phase de configuration et l’aspect supervision. Avec leur port RJ-45, les cinq serveurs en présence ne posent pas de problème sur les réseaux Ethernet 10-T et 100Base-TX. Il n’y a aucune surprise non plus au niveau des ports parallèles, à l’exception des trois ports du JetDirect 500X de HP. Les nuances sont plus nettes, en revanche, en ce qui concerne les protocoles. Les différents modèles gèrent bien les principaux protocoles (LPR, FTP, Pserver, Rprinter, Nprinter, etc. ), mais certains, comme le 5600 d’Axis, vont plus loin dans l’implémentation, qu’il s’agisse de NDPS5 ou de protocoles plus spécifiques, comme Pros A et B.
En ce qui concerne l’administration, Axis a préféré miser sur Internet avec des interfaces web, plutôt que sur un logiciel d’administration centralisée des imprimantes. Cette option implique une richesse fonctionnelle moins importante que celle du logiciel du MarkNet X2031e de Lexmark, mais elle permet aux utilisateurs de visualiser les travaux en cours sur les files d’attente et d’intervenir tant que le fichier n’est pas transmis à l’imprimante. Cette particularité est loin d’être posséder par la plupart des autres serveurs. Il faut souligner toutefois que les serveurs de Lexmark, de i-data et d’Intel se valent.
Pour l’ensemble des critères, les serveurs se départagent au dixième de point près, à l’exception du JetDirect 500X de HP légèrement à la traîne, et seulement cinq dixièmes de point séparent le serveur 5600 d’Axis du NetportExpress 10/100 d’Intel.
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