Les progrès visibles dans le design des volants (merci Ferrari), le freinage qui devient lui aussi plus réaliste, quand il abandonne la simple coupure de l’accélération, et le gain en précision de certains modèles ne doivent pas cacher des défauts encore criants. Il en est ainsi de la non-utilisation généralisée du port USB. Il apporterait une souplesse accrue et dispenserait les utilisateurs de manipulations superflues. C’est le cas quand ils sont, par exemple, obligés de passer d’un jeu avec volant à un jeu nécessitant une simple manette (gamepad) ou un joystick. Comme les ports jeu ne sont pas toujours totalement Plug and Play, il faut donc retoucher leur paramétrage à chaque changement. Enfin, on a trouvé de grandes différences dans les pédaliers : certains sont nettement meilleurs que le volant qui les accompagne ou, au contraire, ne sont pas à son niveau. Peut-être faudrait-il les vendre séparément…
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