Voilà l’une des bonnes surprises de ce début d’année. Nox, d’Electronic Arts, reprend pourtant la recette du jeu un brin fourre-tout. Entre arcade passéiste et jeu de rôle moderne, entre fantastique et médiéval, si Nox n’est pas vraiment novateur, il est beau et vivifiant. Parmi les jantes et les huiles de vidange, vous traînerez vêtu du bleu de travail d’un garagiste fouineur, qui arpente les décharges à ses heures perdues. Et seule Hecubah, une nécromancienne perdue dans l’espace-temps, sait que la boule de cristal, oubliée dans l’atelier et trouvée lors d’une de vos précédentes errances, renferme l’âme de tous ses compagnons jadis injustement chassés de Nox. Un rituel, des incantations, et un superbe vortex, voilà votre garagiste de héros parti pour une seconde carrière, à l’autre bout des ténèbres. Guerrier, magicien et druide, à vous de choisir ses nouvelles attributions, ses armes et ses pouvoirs, et de le lancer dans cet univers hostile. Votre but : gagner ! Pas vraiment ludique en solitaire, ce jeu prend toute sa dimension en réseau : cinq modes sont proposés comme autant de façons de découvrir ce beau et passionnant monde de Nox. Sortie prévue en avril, pour environ 350 F (53 e), sur PC.
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