‘ Je fabrique des tampons, je les vends, et avec les sous je m’achète à boire. ‘ En se présentant de la sorte, ce créateur de tampons encreurs, objets devenus presque insolites en cette
période du tout numérique, prouve qu’il ne manque pas d’humour. Ce que l’on peut vérifier sur son blog.Dans le dernier billet, il remercie les participants à son grand concours d’insultes ‘ Positivons notre haine de l’humanité et du lundi matin grâce au Tampographe. ‘ Son but : créer
un coffret (le deuxième) de 16 ‘ tampons vulgaires pour le lundi matin ‘, parmi lesquels le classique J’en ai rien à foutre ou alors le très tendance Cassetoi pauv’ con. Un cadeau original,
assurément… mais pas vraiment politiquement correct. Tout comme le Président de poche, qui s’est affiché à la une du journal Libération, le Degaulledo-rak, pour réconcilier les fans de Japanime et les militants
gaullistes, ou même le Mini-Juppé, tampon en deux parties qui, de son propre aveu, n’est pas facilement commercialisable. Enfin, si vous connaissez personnellement Alain Juppé, foncez !http://le-tampographe-sardon.blogspot.com
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