Les licences Creative Commons bientôt traduites en français
Selon le magazine en ligne Transfert.net, les licences de Creative Commons sont en cours de traduction dans la langue de Molière. Le projet est conduit par le Cersa (Centre d’études et de recherches en sciences
administratives), un institut de recherche rattaché à l’université Paris II. Contrairement au copyright en vigueur aux Etats-Unis, la licence Creative Commons permet à un auteur de déterminer, par le biais d’une licence
d’exploitation personnalisée, les conditions de copie, de modification ou de redistribution de son travail. Seule condition requise : que l’?”uvre ne donne pas lieu à une exploitation commerciale.
Eugene Kleiner a épuisé son capital-risque
Un des personnages les plus influents de la Silicon Valley vient de décéder, à 80 ans. Autrichien de naissance, ayant fui son pays avant la Seconde Guerre mondiale, Eugene Kleiner s’est installé en Californie dans les années
50, selon Associated Press. Là, il va créer Fairchild Semiconductor, société emblématique de l’industrie électronique dont sont issus les fondateurs d’Intel et de National Semiconductor. Deuxième étape : le capital-risque. En 1972, il lance
Kleiner Perkins Caufield and Byers, l’un des principaux investisseurs de la Silicon Valley, au catalogue duquel on retrouve Amazon, AOL, Sun et Symantec.
La Cnil voit rouge devant les listes noires
Dans un rapport paru il y a quelques jours, la Commission nationale informatique et libertés dénonce la création de listes noires de mauvais payeurs ou de fraudeurs, tenues en dehors de toute légalité et à l’insu de ceux qui y figurent.
Ces listes marginalisent ceux qu’elle visent et créent au final de l’exclusion, notamment parce qu’elles circulent entre professionnels de divers secteurs (téléphonie, immobilier, électro-ménager, etc.), sans respecter les principes de base de
collecte de données personnelles, qui imposent la déclaration des fichiers à la Cnil.
Câble : l’ART montre la sortie à France Télécom
Dans une interview accordée au Figaro, Dominique Roux, membre du collège de l’ART, estime qu’il faut ‘ faire en sorte que France Télécom, qui est présent dans les trois principaux réseaux
câblés, se retire pour permettre aux entreprises de ce secteur de mener une véritable politique autonome ‘. L’amendement du Sénat qui lève la
contrainte de 8 millions d’abonnés
‘ va dans le bon sens car cette décision devrait permettre des regroupements indispensables chez les
câblo-opérateurs ‘. Dans la même interview, Dominique Roux pense que le dégroupage représentera dici à la fin de 2004 ‘ entre 3 et 6 % du marché du haut-débit, soit environ
250 000 abonnés ‘.
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