C’est ce que l’opérateur laisse lui-même entendre dans un courrier envoyé à la Commission européenne, révèle le quotidien Les Echos. Dans ce document, le 3e opérateur mobile français se plaint
notamment d’être soumis par l’Arcep, le gendarme des télécoms, aux mêmes contraintes de régulation qu’Orange et SFR, alors qu’il ne dispose pas d’une force de frappe équivalente.Une situation qui empêcherait Bouygues Telecom de se développer car il disposerait ‘ d’un moindre pouvoir de marché vis-à-vis des constructeurs et des autres opérateurs ‘. Selon
lopérateur, sa part de marché (environ 16 %) accuse un retard de trois ans et diminue petit à petit depuis 2000. Il la juge désormais ‘ insuffisante pour garantir sa présence à long terme sur le
marché ‘ et évoque, à dessein, la solution du rachat. En attendant, il demande purement et simplement à être affranchi de toute régulation.
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