Le site permettait, cependant, l’inscription de ses membres depuis quelques semaines. En Grande-Bretagne, le système Beenz repose sur un modèle ouvert faisant de ses points une véritable monnaie virtuelle permettant d’acquérir des biens sur d’autres sites.Comme en Allemagne et en Italie, la start-up continue de négocier avec les banques centrales pour faire accepter ce système. A l’instar du site britannique, le site français prévoit, à terme, de délaisser son catalogue pour adopter un système fermé.En attendant, son programme de fidélisation a ouvert ce 19 juin avec six premiers partenaires : UGC, Boursediscount, Ticketclic… Pour l’instant, il récompense l’inscription (pour l’équivalent de 7 à 35 francs, selon le niveau de renseignement, en équivalent points Beenz), le parrainage (3 francs par personne) et l’envoi de propects sur des lieux de vente (partenariat signé avec un constructeur automobile).Ces points Beenz seront à terme distribués pour récompenser des visites de sites ou des achats. Partenaire européen de la base opt-in Yoptin de Consodata (qui a pris une participation dans Datatrader), Beenz envoie également une newsletter à ses membres.Au début du mois, Beenz a levé 51,4 millions de dollars au cours dun deuxième tour de table, après un premier de 34,3 millions de dollars. La start-up, qui a récemment localisé son programme de fidélisation au Japon, aux Philippines et en Corée, prévoit ainsi de continuer ses implantations internationales.
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