Sonnet Technologies iFreq : la promesse
Si, comme beaucoup d’automobilistes, vous ne disposez que d’un autoradioclassique (avec ou sans chargeur de CD), vous pouvez être tenté par cetransmetteur FM pour iPod. Comment se comporte-t-il sur la route ? Pourle savoir, nous l’avons embarqué dans un véhicule. Retour d’expérience.
Sonnet Technologies iFreq : la réalité
L’iFreq est très simple à installer. Il suffit de brancher le dispositif entre l’allume-cigares de votre
véhicule et l’iPod. Attention toutefois, car ce modèle ne convient pas
si votre allume-cigare est à l’intérieur du cendrier.
Une fois connecté, l’iFreq vous propose de
diffuser, sur l’une des fréquences FM de votre autoradio, le son de
votre iPod. Si d’aventure la fréquence proposée par défaut est
occupée, deux touches vous proposent d’en changer. Etant donné que l’iFreq
alimente l’iPod, pas de soucis à avoir pour tenir la distance. Pour
parfaire votre installation, Sonnet Technologies accompagne cet
accessoire d’un petit boîtier pour accrocher, sur le tableau de bord, la
version Nano de l’iPod.
Là où ça se complique, c’est à la mise
en route de l’iPod. Car, pour écouter confortablement un morceau de
musique, vous devez monter à fond le son de l’autoradio. C’est là que
l’on se rend compte que « c’est de la radio » : la qualité du son est
assez médiocre, et sachant que le volume est poussé au maximum, il y a
du souffle
dans les haut-parleurs.
L’iFreq connaît également tous les
désagréments de la radio. Quand vous roulez en dessous d’une ligne à
haute tension, le son est parasité. Et, si vous êtes sur
autoroute, les émetteurs GSM, la radio Autoroute FM et les radios
environnantes, viennent occuper de temps à autre la fréquence que
vous pensiez libre… Reste, une
fois l’iPod éteint, à ne pas oublier de baisser le son de votre
autoradio avant de basculer sur une fréquence radio…
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