Dymo LabelWriter 400 Turbo : la promesse
Assurer l’impression facile et rapide de tous types d’étiquettes de marquage et d’adressage ainsi que de timbres-poste est la raison d’être de la LabelWriter de Dymo. Mais l’appareil est-il aussi simple et efficace qu’on nous l’annonce? Nous nous devions de nous en assurer en «molestant» un des quatre modèles présentés.
Dymo LabelWriter 400 Turbo : la réalité
La LabelWriter est présentée par son constructeur comme une imprimante compacte, silencieuse et simple à utiliser. En découvrant l’appareil, on peut constater que ces trois points sont exacts. La LabelWriter est effectivement peu encombrante (nous l’avons facilement placée à portée de main sur notre bureau). Elle est aussi fort simple à utiliser. Quelques minutes seulement nous ont suffi pour installer le logiciel pilote, brancher les deux câbles nécessaires à son fonctionnement et y loger un rouleau d’étiquettes adhésives. Après quoi, nous avons pu constater que l’imprimante est réellement silencieuse.
Voyons ce qu’elle a dans le ventre
Mais, plutôt que de s’ébahir sur son aspect, soumettons-la à une utilisation réelle en dévidant quelques centaines d’étiquettes de divers formats et autant de timbres-poste. Pour ce faire, on peut, au choix, utiliser le logiciel Dymo LabelWriter fourni ou exploiter le site de vente en ligne de La Poste.
La première solution permet d’imprimer toutes sortes d’étiquettes en profitant des fonctionnalités du logiciel en matière de création, de présentation et de gestion d’adresse.
Mais vous pouvez aussi imprimer des timbres-poste grâce au site Montimbrenligne.com, de La Poste, et à son module d’impression limité à la Dymo LabelWriter, à l’impression directe sur enveloppe et à l’impression de planches d’étiquettes par imprimantes laser ou à jet d’encre standards.
Et Dymo dit: «Que la simplicité soit», et la simplicité fut…
Force nous a été de constater que, à ce stade, la LabelWriter est plus simple à utiliser qu’une imprimante classique. Pas de problème de mise en place, de centrage ni de sélection des étiquettes adhésives, pas de problème de décalage non plus. Les étiquettes sont imprimées rapidement, avec une excellente qualité et sans risque de décalage grâce à des repères placés sur le rouleau.
Mais le paradis peut devenir un enfer
Jusque-là, utiliser la Dymo LabelWriter n’est que plaisir. Mais cela se transforme hélas en petite déception car les impressions ne sont possibles qu’en noir et blanc et nécessitent des étiquettes spéciales (support thermique direct), que seul Dymo commercialise. C’est d’autant plus rageant que nous avons imprimé les mêmes documents, et plus particulièrement des timbres, avec une imprimante à jet d’encre couleur classique, sans avoir à investir dans des supports spéciaux. C’est beaucoup plus lent et beaucoup moins pratique mais la qualité est tout aussi bonne voire meilleure et… avouons-le: les timbres-poste personnalisés sont franchement plus jolis en couleur qu’en noir et blanc.
Rien n’est parfait en ce monde
Certes, la LabelWriter nécessite des supports spéciaux et n’imprime qu’en noir et blanc, et le prix moyen des médias d’impression est assez élevé (entre 11 et 55 euros la boîte d’étiquettes). Cependant, il est bon d’insister sur ses points forts, qui sont essentiellement sa simplicité d’utilisation, sa rapidité d’impression et son faible encombrement.
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