Les PC de bureau sont certes parfois encombrants, mais possèdent des capacités d’extension et d’évolution largement supérieures aux portables. Si vous ne voulez pas ouvrir le boîtier, vous pouvez déjà profiter des connecteurs disponibles pour brancher des périphériques externes (clé USB, disque dur, graveur, clé Wi-Fi ou Bluetooth, tuner TV, etc.). Les machines testées comportent entre cinq et neuf ports USB 2.0, avec en moyenne deux ports situés en façade pour un accès immédiat. Le Firewire, bien que plus performant en pratique, est moins utilisé (il sert à brancher certains caméscopes et disques externes).
Nombreuses baies d’extension
Ce n’est pas le cas de l’eSata, équivalent externe de l’interface Sata, qui n’équipe que trois machines sur dix : dommage car il permet d’obtenir des débits élevés avec les disques externes. Les boîtiers les plus encombrants possèdent l’avantage de disposer de nombreuses baies d’extension aux formats 3,5″ et 5,25”. Attention, certaines sont déjà occupées par le disque dur, le graveur ou le lecteur de cartes mémoire. Enfin, seuls trois modèles disposent de deux ports PCI Express 16x pour connecter deux cartes graphiques en SLI (nVidia) ou en Crossfire (ATI) et les faire travailler conjointement pour l’affichage des jeux en 3D ; à noter qu’ici, les chipsets d’Intel gèrent le Crossfire mais pas le SLI.