Attendu pour 2024, Windows 12 se fait désirer. Lors de sa conférence Build 2023, Microsoft a tout de même fait allusion à son futur système d’exploitation, sans jamais le nommer. L’occasion de faire le point sur l’OS qui devrait apporter un vent de fraicheur.
Windows 12 dans les tuyaux
Jusqu’à présent, Microsoft évoquait la prochaine version de Windows à travers la référence « Next Valley Prototype Design ». Mais plus le temps passe, plus l’entreprise distille de nouveaux indices autour de son OS, comme en témoigne la conférence tenue par Panos Panay le 24 mai dernier lors de la Build 2023 autour de « La prochaine génération de Windows ».
Microsoft se garde bien de l’appeler « Windows 12 » dans la mesure où l’OS est toujours en cours de développement et ne semble pas encore prêt à être présenté officiellement. Son existence en interne ne fait plus beaucoup de doutes et des images de l’interface ont même été partagées lors de la conférence Ignite 2022.
Sont notamment évoquées une barre des tâches et une barre de recherche, toutes deux centrées et flottantes. Des changements qui ne sont pas gravés dans le marbre, mais qui viendraient bousculer les habitudes des utilisateurs de Windows 10 et Windows 11. Car pour justifier son existence en tant que mise à jour majeure, l’OS que l’on appelle pour l’instant Windows 12 devra apporter suffisamment de nouveautés à l’expérience utilisateur.
Microsoft veut un OS plus moderne, optimisé pour les processeurs ARM, et plus léger, à la manière de ce que peut proposer un ChromeOS. Parmi les autres changements attendus, celui du virage qu’a pris Microsoft avec l’intelligence artificielle. Déjà présente dans le navigateur Edge à travers Bing Chat, le prochain Windows devrait intégrer l’IA de manière plus profonde à l’OS.
Trouver le juste équilibre en gardant les bases de Windows 11 tout en apportant des nouveautés significatives pour améliorer la productivité des utilisateurs n’est jamais simple. Le géant de Redmond en est conscient et joue gros à chaque nouvelle version de son OS. Ce dernier est, rappelons-le, installé sur 1,4 milliard de machines, en comptant uniquement Windows 10 et Windows 11, les deux versions les plus populaires.
La question de la configuration requise pour faire tourner Windows 12 est également au cœur des préoccupations de l’entreprise. Microsoft a appris à ses dépens que devoir changer un parc trop important de PC pour profiter de la dernière version de l’OS ne facilite pas son adoption.
Bien que cela reste à confirmer, la prochaine version de Windows pourrait nécessiter 8 Go de RAM au minimum, contre 4 Go pour Windows 11. D’ici à sa sortie attendue en 2024, nous n’avons pas fini d’entendre parler de Windows 12.
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Source : Windows Latest
s’il faut avoir puce TPM, processeur compatible, … au revoir Windows 12 comme Windows 11.
j’ai un pc qui fait tourner tout les jeux en 4K ultra, je vais pas changer mon pc car il faut une puce TPM.