Et si les routes, les trottoirs, les parkings étaient capables d’absorber la pollution… et de la recracher sous forme d’éléments inoffensifs ? C’est le principe d’une technologie baptisée Ecogranic. Des dalles qui, au contact de la lumière, transforment les particules fines et les oxydes d’azote en sel et en eau. Actuellement testée à Marseille, Tarbes, Grenoble ou encore Toulouse, cette technologie permettrait, si elle était déployée à grande échelle, d’améliorer significativement le niveau de pollution de l’air dans les grandes villes.
Sur le même principe, à Mexico, on teste aussi des murs dépolluants. La surface d’un hôpital, fabriquée à base de ciment biodynamique, est capable à elle seule d’annuler les effets polluants de 1000 voitures. Certains chercheurs imaginent même utiliser ce type de technologie… dans les lessives. Ce sont alors nos vêtements qui permettraient d’absorber la pollution.
Autre initiative technologique «green», des drones capables de planter… un milliard d’arbres par an. Un projet développé par un ancien ingénieur de la Nasa. Ces engins volants seraient capables de cartographier précisément une zone à reboiser avant de la bombarder avec des graines germées, placées dans des billes biodégradables. A raison de 36 000 graines plantées par jour, c’est un début de solution potentiel au problème de la déforestation.
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